1. Un préjugé est une attitude *** ou une pré-disposition à adopter un comp neg envers *** ou envers les membres de ce gr qui repose sur une généralisation *** et rigide.
a Négative - Un groupe - Erronnée
b Positive - Un individu - Vérifiée
2. Qu'est-ce qu'une attitude ?
a Un comportement selon le préjugé face à un groupe
b Une pré-disposition à l'action
3. Que peut-on dire d'une attitude ?
a Elle porte sur un objet
b Elle est de nature évaluative
c Elle est stable dans le temps
d Les 3 réponses sont justes.
4. Les mesures de stéréotypes sous forme de questionnaires ou d'échelles :
a Conservent les biais inhérents aux normes sociales.
b Eliminent les biais inhérents aux normes sociales.
5. Les *** et *** sont des phénomènes sociaux, socialement partagés, des constructions mentales historiquement datées et qui sont intimement liés aux relations intergroupes.
a Attitudes et comportement
b Attitudes et préjugés
c Stéréotypes et préjugés
d Préjugés et comportement
6. On ne peut pas avoir de stéréotypes qui ne se traduisent pas en préjugés.
7. Les explications qui se centrent sur des attitudes individuelles en omettant les dimensions situationnelles, sont les explications :
a Individuelles
b Inter-individuelles
c Intra-individuelles
8. Qui définit l'autoritarisme comme un syndrome de personnalité ?
a Deconchy
b Altemeyer
c Licata
9. Selon Adorno, Frenkel-Brunswik, Levinson et Stanford, une éducation autoritaire favoriserait le développement d'une personnalité autoritaire.
10. Quelles affirmations sont vraies ?
a L'autoritarisme serait la conséquence de conduites mal adaptées en lien avec la structure familiale.
b Les sujets autoritaires réprimeraient des sentiments d'hostilité issus d'une éducation familiale punitive.
c Les traits de personnalité de l'autoritarisme sont : le conformisme, agressivité, superstition...
d Les 3 réponses sont justes.
11. Selon Altemeyer, l'autoritarisme renvoie :
a A un apprentissage social déterminé par l'imitation des autres.
b A un apprentissage familial déterminé par l'imitation des autres.
12. Selon Dollard, l'agressivité est entrainée par des situations :
a De colère
b De frustration
c De disputes
13. La solution est de s'en prendre :
a Aux étrangers
b A son endogroupe
c A un bouc émissaire
14. D'après Fein et Spencer : suite à un échec personnel qui menace l’estime de soi, les individus ont davantage tendance à stigmatiser autrui. De ce point de vue, la fonction des préjugés est de réparer l’image de soi.
15. Les théories de l'apprentissage social, d'inspiration behavioriste, considèrent que les préjugés et les stéréotypes sont appris lors du processus *** de l'enfant.
a D'éducation
b De socialisation
c De sociabilisation
16. La partie du concept de soi d'un individu qui résulte de la Cs qu'a cet individu d'apparteneir à un groupe social ainsi que la valeur significative émotionnelle qu'il attache à cette appartenance est :
a L'identité collective
b L'identité sociale
c L'apprtenance collective
d L'appartenance sociale
17. Le principal paradigme lié à la théorie de l'identité sociale est le paradigme :
a Des endogroupes
b Des exogroupes
c Des groupes maximaux
d Des groupes minimaux
18. A quoi peut amener une comparaison défavorable ?
a Un changement de groupe
b Chercher un critère de comparaison plus favorable à l'endogroupe
c Faire évoluer la position de son groupe
d Les 3 réponses sont justes.
19. Le choix de stratégies dépend du système de croyances socialement partagées.
a Vrai
b Partiellement vrai
c Faux
20. Qu'est-ce qui implique de se différencier de l'endogroupe alors qu'il y a aussi l'IS ?
a Identité Personnelle
b Identité Sociale
c Identité Proendogroupe
21. D'après l'expérience de Sherif, les conflits entre groupes s'atténuent lorsque ces groupes ont à coopérer dans un but commun et qu'ils participent conjointement à un but supra ordonné.
22. Lorsqu'on ne peut plus ignorer l'autre groupe on parle :
a D'indépendance positive
b D'interdépendance négative
c D'interdépendance positive
d D'indépendance négative
23. Lorsque les deux groupes coopèrent avec un but commun, on parle
a D'indépendance positive
b D'interdépendance négative
c D'interdépendance positive
d D'indépendance négative
24. L'apparition d'un conflit dépend de l'évaluation subjective que fait le groupe de sa propre situation, c'est qu'on appelle :
a La théorie de la privation relationnelle
b La théorie de la privation relative
25. Lorsque j'évalue ma situation personnelle par rapport aux membres de mon groupe, c'est la privation :
a Relative pour autrui
b Relative collective
c Relative personnelle
26. Lorsqu'il y a une comparaison personnelle et/ou de son groupe par rapport à d'autres groupes, c'est la privation
a Relative pour autrui
b Relative collective
c Relative personnelle
27. L'affect par rapport à la comparaison d'un groupe défavorisé avec un autre groupe est la privation :
a Relative pour autrui
b Relative collective
c Relative personnelle
28. Pour qu'il y ait émergence de la privation relative, il faut :
a Le sentiment qu'un individu a d'être privé de "X" quand il ne l'a pas ou plus.
b Le fait qu'il croit que d'autres personnes le détiennent.
c Le statut ou objet qu'il désire et qu'il pense être en mesure d'obtenir.
d Les 3 réponses sont justes.
29. Les comparaisons qui font émerger la privation relative sont :
a Objectives
b Subjectives
30. La privation relative :
a Est la comparaison que les individus établissent entre leur propre situation et celle d'autrui.
b Est ressentie qd ls mb d'un gr défav perçoivent contradict° entre le sort actu de l'endogr et celui auquel ils pensent avoir droit collectivmnt.
c Les 2 réponses sont justes.
d Aucune des 2 réponses.